Les contours à peine esquissés des promeneurs, des enfants et des animaux domestiques apparaissaient et disparaissaient tour à tour, semblant être engloutis par l’épaisse couche de brume. Les sons étaient étouffés, laissant seulement le murmure éthéré de la mer toute proche, Tout à coup, la fragilité et la solitude des êtres vivants me sont apparues avec une grande force, provoquant en moi une profonde émotion.

Une heure plus tard, le vent avait balayé le brouillard, tout était revenu à la normale, l’ordre des choses s’était rétabli créant comme l’effet d’une fin de nuit et d’une page qui se tourne et sur laquelle le mot « FIN » est écrit.